Édition du mercredi 11 juillet 2012
Grande conférence sociale: les maires et les présidents de communautés continueront de s'impliquer pour le service public et l'emploi
Partie prenante de la Grande conférence sociale dans les tables rondes consacrées au développement de l’emploi et à la modernisation de l’action publique, l’Association des maires de France indique dans un communiqué que l’implication et l’engagement des maires et des présidents de communautés dans ces deux domaines, «depuis plus de 30 ans» se poursuivra. L’association demande «que les communes et les communautés» soient «reconnues comme des acteurs à part entière de l’élaboration et de la conduite des politiques territoriales de l’emploi.»
Lors de la Conférence, les représentants de l’AMF ont rappelé que les communes et communautés «mettaient en Å“uvre, avec des agents territoriaux mobilisés, dans un contexte de maîtrise budgétaire, des services publics de proximité qui produisent de la valeur, renforcent l’attractivité des territoires et permettent d’atténuer les effets de la crise».
«Très attachés à cette fonction publique territoriale qui a su, depuis la décentralisation, s’adapter en permanence et assurer un service public de qualité», les représentants des employeurs communaux et intercommunaux ont «affirmé leur désir de participer au chantier de refonte des grilles de rémunération des catégories C et B». Ils ont aussi rappelé «l’impératif de formation initiale et tout au long de la vie, en souhaitant développer en particulier la formation en alternance et l’accompagnement de la réorientation professionnelle des seniors».
Après l’annonce par le Gouvernement de nouveaux contrats aidés, les élus attendent du gouvernement que les caractéristiques de ceux-ci «remplissent les conditions indispensables pour une insertion professionnelle: une durée suffisamment longue pour permettre une véritable expérience professionnelle pouvant être valorisée et un accès facilité aux diverses formations».
Ils ont aussi souligné le «le rôle majeur» des missions locales pour permettre l’insertion sociale et professionnelle des jeunes et ils ont demandé que «l’action de ces missions qui agissent dans la proximité et peuvent ainsi être les interlocuteurs de nombreux jeunes soit confortée, que des moyens pérennes leur soient alloués et que les partenariats soient élargis aux acteurs de l’éducation».
Fortement engagés dans les maisons de l’emploi, les maires et les présidents de communautés soulignent «leur apport au service public territorial de l’emploi» et souhaitent que leur «rôle» soit réaffirmé et que leurs financements soient «stabilisés». En effet, elles permettent «une cohérence des actions au niveau des bassins d’emploi et développent des initiatives et des synergies locales nécessaires au développement économique de leur territoire».
«Impliqués également en faveur de l’emploi des plus précaires au travers des clauses d’insertion dans les marchés publics, du recours aux ateliers et chantiers d’insertion», les maires sont «sensibles au développement de l’économie sociale et solidaire et apportent leur soutien aux initiatives génératrices d’emplois locaux».
Lors de la Conférence, les représentants de l’AMF ont rappelé que les communes et communautés «mettaient en Å“uvre, avec des agents territoriaux mobilisés, dans un contexte de maîtrise budgétaire, des services publics de proximité qui produisent de la valeur, renforcent l’attractivité des territoires et permettent d’atténuer les effets de la crise».
«Très attachés à cette fonction publique territoriale qui a su, depuis la décentralisation, s’adapter en permanence et assurer un service public de qualité», les représentants des employeurs communaux et intercommunaux ont «affirmé leur désir de participer au chantier de refonte des grilles de rémunération des catégories C et B». Ils ont aussi rappelé «l’impératif de formation initiale et tout au long de la vie, en souhaitant développer en particulier la formation en alternance et l’accompagnement de la réorientation professionnelle des seniors».
Après l’annonce par le Gouvernement de nouveaux contrats aidés, les élus attendent du gouvernement que les caractéristiques de ceux-ci «remplissent les conditions indispensables pour une insertion professionnelle: une durée suffisamment longue pour permettre une véritable expérience professionnelle pouvant être valorisée et un accès facilité aux diverses formations».
Ils ont aussi souligné le «le rôle majeur» des missions locales pour permettre l’insertion sociale et professionnelle des jeunes et ils ont demandé que «l’action de ces missions qui agissent dans la proximité et peuvent ainsi être les interlocuteurs de nombreux jeunes soit confortée, que des moyens pérennes leur soient alloués et que les partenariats soient élargis aux acteurs de l’éducation».
Fortement engagés dans les maisons de l’emploi, les maires et les présidents de communautés soulignent «leur apport au service public territorial de l’emploi» et souhaitent que leur «rôle» soit réaffirmé et que leurs financements soient «stabilisés». En effet, elles permettent «une cohérence des actions au niveau des bassins d’emploi et développent des initiatives et des synergies locales nécessaires au développement économique de leur territoire».
«Impliqués également en faveur de l’emploi des plus précaires au travers des clauses d’insertion dans les marchés publics, du recours aux ateliers et chantiers d’insertion», les maires sont «sensibles au développement de l’économie sociale et solidaire et apportent leur soutien aux initiatives génératrices d’emplois locaux».
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